Frenay, en étant, d'un côté, le n o 2 de l'Armée secrète, et, de l'autre, membre du comité de coordination de cette même armée, souhaite alors le rappel de Delestraint et sa propre nomination à la tête de l'Armée secrète, souhaits à nouveau écartés par les autres membres du comité de coordination, Moulin, d'Astier et Lévy [16].